26 mars 2023 à 14h19 je
La proposition de Heger a échoué, mais elle mérite des éloges.
Deux moments sont vite imprimés du sommet européen de Bruxelles.
Lorsque, il n’y a pas si longtemps, en réponse à l’accord du PE et des États membres sur le zéro émission à l’échappement, les médias annonçaient « la fin des moteurs à combustion interne en 2035 » comme un fait accompli, le doute planait à ce stade de la sens que nous verrons. Eh bien, nous verrons.
La première correction a été apportée immédiatement lors du sommet de mars : l’échéance pour les moteurs à combustion interne en 2035 ne s’applique pas si des « carburants climatiquement neutres » sont utilisés.
L’Allemagne et la Commission européenne ont réglé le différend sur la fin des moteurs à combustion interne Continuer à lire
Le non-automobiliste n’a aucune idée des plus/moins de l’utilisateur (accélération, bruit, puanteur, etc.) que promettent les carburants de synthèse, mais il soupçonne autre chose. Le caractère inabordable du transport individuel pour les couches les plus larges, qui est principalement évoqué à propos de l’électromobilité, mais qui apparaît également dans le cas des carburants d’origine non pétrolière.
Les millions de manifestations que nous voyons en France n’ont apparemment aucun rapport avec cela, mais elles nous rappellent à point nommé que le plus grand écueil de la politique climatique de l’UE est peut-être la dimension sociale.
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