La jeune fille a disparu alors qu’elle rentrait de l’école.
BORDEAUX. Les enquêteurs français enquêtent sur le meurtre d’une lycéenne de 14 ans, survenu en fin de semaine dernière dans la commune de Tonneins, dans le sud-ouest de la France.
C’est ce qu’a rapporté l’agence AFP, qui a ajouté qu’il s’agit du deuxième meurtre d’une collégienne en France en un mois.
L’accusé du meurtre de la jeune fille est un homme de 31 ans qui a avoué lors des interrogatoires avoir violé et étranglé l’écolière. Il a ensuite laissé le corps dans un bâtiment abandonné, ont indiqué dimanche les procureurs locaux dans un communiqué.
La jeune fille a disparu vendredi après-midi alors qu’elle rentrait de l’école. Ses parents ont alerté la police vers 18h45 CET.
Grâce aux images des caméras vidéo dans les rues de Tonneins, la police retrouve le suspect quatre heures plus tard. Il a avoué le meurtre de l’adolescente.
L’accusé en garde à vue a déclaré qu’il n’avait pas planifié son acte et qu’il ne connaissait pas la victime. Il a ajouté que ses actions « étaient sexuellement motivées », selon le communiqué du procureur. Elle a ajouté que l’homme avait passé la journée du meurtre à fumer du cannabis dans sa voiture.
Les médias français ont rapporté que l’agresseur était Romain Chevrel, qui vit avec sa compagne et a une fille d’un mois. Dans le passé, alors qu’il avait 15 ans, il a été reconnu coupable de harcèlement sexuel sur des enfants.
L’AFP a noté que les meurtres d’écoliers sont extrêmement rares en France.
C’est aussi pourquoi le meurtre d’une fillette de 12 ans, survenu en octobre à Paris, provoqué le choc et la colère du public. De plus, l’affaire a déclenché une âpre dispute politique, car le meurtrier présumé était une algérienne souffrant de troubles mentaux qui se trouve en France illégalement et au nom de laquelle un arrêté d’expulsion a été émis.
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