La France commémore le septième anniversaire des attentats de Paris. Il y a eu six attentats commis avec des armes à feu et trois attentats-suicides. Ils ont coûté la vie à 131 personnes et en ont blessé 350.
Ils se sont déroulés dans la salle de concert du Bataclan, sur les terrasses des restaurants et bars des 1er, 10e et 11e arrondissements de Paris et à proximité du stade national de football dans la banlieue de Saint-Denis.
Comme Le Parisien l’a rapporté dimanche, une série d’actes commémoratifs a commencé vers 09h00 au Stade de France dans la banlieue de Saint-Denis, où les noms des victimes de l’attentat ont été lus et les personnes présentes ont honoré leur mémoire avec une minute de silence après le dépôt de gerbes et de bouquets de fleurs.
Plus tard dans la matinée, d’autres actes commémoratifs ont eu lieu dans un scénario similaire sur les lieux d’autres assassinats : aux terrasses des restaurants, cafés et bistrots Carillon, Petit Cambodge, La Bonne Bière, Comptoir Voltaire, La Belle Equipe et devant le Salle de concert du Bataclan.
Le Parisien rappelle que les attentats du 13 novembre 2015 ont été les plus tragiques de l’histoire de France. Être responsable d’eux
a revendiqué l’organisation État islamique (EI).
Les événements commémoratifs d’aujourd’hui étaient les premiers depuis la fin du procès qui a conduit à la condamnation de 13 accusés dans cette affaire. Leur procès s’est terminé le 29 juin après dix mois d’audiences.
La plupart des personnes jugées ont été accusées d’avoir aidé à créer de fausses identités, à transporter des assaillants de Syrie vers l’Europe ou à fournir de l’argent, des téléphones, des explosifs et des armes.
Les accusés ont été condamnés à des peines allant de deux ans à la prison à vie prononcées par le tribunal contre Salah Abdeslam, qui est le seul membre survivant des commandos terroristes attaquants.
Abdeslam est devenu le cinquième homme en France à être condamné à la prison à vie, la peine maximale prévue par le code pénal, qui comporte également une possibilité minimale de libération conditionnelle. Abdeslam n’a pas fait appel du verdict, rendant sa condamnation définitive. (TASR)
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