Deux personnes ont plaidé coupables d’avoir volé et vendu le journal intime de la fille du président américain Joe Biden pour 40 000 dollars. Ashley Biden a été cambriolée en 2020 alors que son père était en compétition pour la présidence avec Donald Trump. C’est ce qu’a rapporté vendredi l’agence de presse AFP.
Le ministère de la Justice a annoncé qu’Aimee Harris et Robert Kurlander ont avoué le crime et que leur fille en est la victime « Candidat 1 ». Cela signifie généralement Biden. Le couple a d’abord tenté de vendre le journal à l’équipe de campagne de Trump. Lorsqu’il les a refusés, ils l’ont proposé à un groupe d’activistes conservateurs. Trump est identifié dans les fichiers comme « Candidat 2 ».
La moitié pour chacun
Le groupe conservateur Project Veritas a offert à chacun 20 000 $. Elle les aurait encouragés à revenir et à voler d’autres objets au domicile du petit ami d’Ashley Biden en Floride, a déclaré le ministère de la Justice.
Le projet Veritas est connu pour ses efforts pour infiltrer les groupes progressistes et utiliser des astuces pour les attirer dans des actions qui peuvent être utilisées pour l’impossibilité politique, écrit l’AFP. Le journal a été publié par le site Web conservateur National File, déclenchant une enquête du Federal Bureau of Investigation (FBI).
Les voleurs ont plaidé coupables dans le cadre de l’accord, ce qui signifie qu’ils perdent l’argent qu’ils ont reçu de la vente du journal et exigent leur coopération dans l’enquête en cours. Ils risquent cinq ans de prison.
Le FBI se penche également sur le cas de l’ordinateur portable du fils de Biden, Hunter. Ses données ont été divulguées de l’atelier de réparation d’ordinateurs aux groupes conservateurs et aux médias. Peu avant l’élection présidentielle de novembre 2020, le New York Post a publié des courriels suggérant l’implication de Hunter Biden et de son père dans des transactions douteuses en Ukraine.
Les données de l’ordinateur portable sont toujours utilisées pour tenter de nuire politiquement au président et seraient examinées par le FBI dans le cadre d’une enquête sur les transactions financières de Hunter Biden, rapporte l’AFP.
Trump risque 33 ans de prison pour des documents classifiés
Dans la résidence de l’ancien président Donald Atoutet en Floride, il y a quelque temps, il y a eu une descente du Federal Bureau of Investigation (FBI) des États-Unis, qui était liée, entre autres, à des soupçons de violation de la loi sur l’espionnage, à savoir le stockage illégal de documents militaires classifiés.
TASR informe à ce sujet sur la base du rapport de l’AFP. Le mandat et les documents connexes, descellés par un juge de Floride, ont montré que les agents avaient emporté avec eux un nombre important de documents portant la mention « Top secret« . Ceux-ci devaient être disponibles uniquement « dans des installations gouvernementales spéciales« , selon un dossier non scellé de la Cour fédérale de sept pages.
Le dossier contenait une liste de choses tirées de Atoutde sa résidence Mar-A-Lago en Floride, y compris des informations sur « le président français», ainsi qu’un mandat de perquisition à la résidence de Palm Beach.
Si les soupçons du FBI sont effectivement confirmés et que Trump est accusé des trois violations de la loi présentées, sa peine pourrait atteindre 33 ans. La violation susmentionnée de l’Espionage Act pourrait en elle-même mettre l’ancien président américain derrière les barreaux jusqu’à 10 ans, nous vous en informons dans cet article.
Sources : TASR, archives de l’UES
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