Serhiy Hajdaj, le gouverneur de la région ukrainienne de Louhansk, a d’abord informé le journaliste de sa mort. Selon lui, le Français s’est blessé au cou lors d’une attaque russe contre un véhicule d’évacuation.
« Frédéric Leclerc-Imhoff était en Ukraine pour montrer la vraie image de la guerre. Il a été mortellement blessé dans un bus humanitaire avec des civils contraints de fuir les bombardements russes. » a écrit un post sur Macron sur Twitter.
Il a exprimé son soutien à tous les personnels des médias couvrant les combats en Ukraine.
Leclerc-Imhoff a travaillé pour la chaîne d’information française BFM. La télévision a déclaré que son employé de 32 ans effectuait un deuxième voyage d’affaires en Ukraine depuis le début de l’invasion russe.
Les ministères ukrainien et français des Affaires étrangères ont déclaré que le journaliste était mort près de la ville de Severodonetsk, qui tentait de conquérir des membres des troupes d’invasion russes.
« La France demande qu’une enquête transparente soit lancée dans les meilleurs délais pour éclaircir les circonstances de ce drame. » Catherine Colonn, chef du ministère français de la Diplomatie, qui a effectué une visite à Kiev lundi, a déclaré dans un communiqué.
Selon le Comité international pour la protection des journalistes (CPJ), basé à New York, plus de 10 journalistes ont été tués depuis le début de l’offensive russe en Ukraine.
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