Tous les concitoyens ont été surpris par la crise politique qui étreint les plus hauts responsables constitutionnels. Par exemple, la présidente a décidé qu’elle ne se représenterait plus. Le président du parlement a pleuré publiquement en sachant qu’il avait battu une femme qui était probablement un peu la sienne. Mais soi-disant dans un tel territoire américain, à savoir à Miami, qui d’une certaine manière n’était probablement pas du tout le sien.
Bon, on ne sait pas comment le public réagirait à tout ça s’il le giflait, par exemple, dans une telle « Villa des commencements » en France, car on disait que les Français étaient bien plus galants que les Américains dix ou douze ans depuis, même si depuis lors ces différences contre nature entre diverses nations civilisées se sont déjà apaisées.
Aujourd’hui, avec les années qui passent, il est beaucoup plus difficile de dire que c’est une femme. Parce que la compréhension du genre n’est pas si claire à cet égard, elle admet même environ 69 possibilités complètement différentes dans le domaine de chaque sexe.
Alors aurait-il pu savoir que c’était une femme ? Malgré le fait que la personne était la mère de son enfant abandonné de manière disproportionnée, qu’il aurait soi-disant protégé en agissant ainsi ? Je crois que des questions aussi complexes doivent être posées par un lecteur progressiste objectif aujourd’hui s’il veut adopter une attitude progressiste et juste.
C’est pourquoi de nombreux autres parlementaires et concitoyens sont d’avis qu’il devrait démissionner de son poste – comme dans l’esprit du slogan : « A Miami, on se battait déjà pour Bratislava à l’époque ! » Il s’agissait donc de nos valeurs communes, que nous partageons tous si rarement, car nous les couvrons de manière fiable de politiques.
Cependant, l’Amérique fournit un contexte si ambigu pour cela. Par exemple, dans un film avec l’acteur Al Pacino, où le protagoniste s’est échappé de Cuba pour devenir un gangster influent, les relations mutuelles entre les participants n’étaient pas les meilleures. En gros, il n’y avait pas beaucoup de gifles dans le film décrivant cette couche déchue de la société, il y avait plutôt des tirs directs comme le tonnerre.
J’ai envie de dire que cet environnement peut être un peu tentant, car quelques années auparavant, à l’autre bout des USA, c’est-à-dire à Los Angeles, un certain joueur de hockey slovaque a « résolu » un « fitness center » slovaque bien connu à d’une manière tout à fait similaire, qui à l’époque était aussi un peu à sa place. En même temps, du moins comme l’écrit la presse contemporaine, « ils ont dit qu’il y avait aussi des gifles appropriées jusqu’à l’arrivée de la police ». On dit qu’il n’a été libéré de son péché que par « l’indulgence » populaire et généreusement financée là-bas, qu’ils appellent collectivement « la libération sous caution ».
Il reste un fait indéniable qu’environ les neuf dixièmes des autres partenaires, qui appartiennent aussi un peu au président du parti au bien nommé We Are Family, sont restés totalement indifférents à cet incident désagréable. Mais quelle est la différence dans telle ou telle quantité ? Il reste donc à la considération des concitoyens, et surtout des électeurs, à distinguer ce qui est un péché et ce qui ne l’est pas. Par exemple, un diplôme radié reste-t-il quelque chose de complètement sans importance pour un homme politique, ou la fraude fiscale ne mérite-t-elle plus du tout qu’on s’y attarde ?
N’importe qui pourrait m’accuser de plaisanter tristement sur fond de choses trop sérieuses. En d’autres termes, quiconque n’a encore rien connu de la morale naturelle et même de la morale commune.
« Lecteur. Voyageur évangéliste. Internetaholic indépendant. Fier spécialiste du Web. Passionné de Twitter. »