Les auteurs travaillent pour le portail Euractiv.sk
- Les députés veulent renforcer l’utilisation de l’énergie nucléaire en Europe.
- Les États essaient de sauver les moteurs à combustion interne à la dernière minute.
- Nouvelles règles budgétaires européennes : plans individuels au lieu de limites générales.
1. Une nouvelle « alliance nucléaire » est en train de se former, la Slovaquie y adhère également
Des représentants de onze pays ont formé une alliance de partisans de l’énergie nucléaire à Stockholm. La coalition a été initiée par la France, la Slovaquie en fait également partie. Les pays veulent coopérer dans la recherche et sur des projets industriels. Cependant, le principal objectif immédiat est probablement le renforcement de la place du nucléaire dans la législation européenne.
Que se passe-t-il
Mardi Réunion initiée par la ministre française de la Transformation énergétique, Agnès-Pannier Runacher. Selon la finale déclaration commune les signataires « ont confirmé la volonté de renforcer la coopération européenne dans le domaine de l’énergie nucléaire ».
L’Union européenne n’a pas de position unifiée à son égard. Aux États fortement pronucléaires s’ajoutent ceux qui refusent sans équivoque cette ressource (Autriche, Allemagne). Après la catastrophe de Fukushima, au Japon, il semblait que l’énergie nucléaire était en déclin – le gouvernement allemand, par exemple, a décidé de fermer toutes les centrales électriques.
Cependant, la crise de l’énergie change la donne et les partisans du nucléaire gagnent du terrain dans la politique européenne. Le commissaire à l’Energie Kadri Simson a également assisté à la réunion de Stockholm – bien que la Commission soit officiellement neutre sur la question nucléaire.
Pourquoi c’est important?
La déclaration parle de coopération dans la recherche et le développement ainsi que de projets industriels communs. L’un des domaines devrait être les petits réacteurs modulaires, dont la construction devrait être moins chère et plus rapide que les réacteurs standards, afin qu’ils puissent rapidement contribuer à la décarbonisation du secteur de l’énergie. Les ministres ont également évoqué la question des compétences et l’autorisation de nouveaux réacteurs.
La coopération et les projets communs sont importants pour des pays comme la Pologne, qui prévoit d’importants investissements nucléaires, ou la France, dont les entreprises disposent de la technologie pour construire et exploiter de nouvelles installations.
Cependant, la rencontre
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