Il a vendu le corps sans âme de sa femme pendant une décennie

1.7. 19:00

S’il n’avait pas cherché des jupes pour femmes dans le magasin, la police ne l’aurait peut-être jamais trouvé.

Dominique vendait le corps de sa femme à des amis tout aussi sournois depuis une décennie et elle ne le savait même pas. Cela lui a presque brisé le cœur, mais aujourd’hui, l’homme de plus de soixante-dix ans ne s’est pas reposé. Comme l’écrit le journal Le Parisien, en 2020, la police l’a surpris en train de se faufiler derrière des clientes dans un supermarché de la ville française de Carpentras et de filmer des parties cachées sous leurs jupes avec un téléphone portable. Au début, il semblait que la question désagréable ne serait évitée que par l’avertissement « curieux » grand-père. Cependant, l’inspection subséquente de la petite maison au bord de la rivière L’auzon dans laquelle il vivait avec l’amour de sa vie, Françoise (le vrai nom a été retenu par les médias), a mis au jour tant de saletés qu’encore plus personnalités tremblaient de dégoût. Les forces de l’ordre lui ont saisi des appareils photo, des ordinateurs et des téléphones portables contenant un certain nombre de vidéos dans lesquelles une femme sous sédation est maltraitée par divers hommes. Il aurait dû y en avoir plus de quatre-vingts au total !

Maltraité et infecté

Ils cheminèrent ensemble pendant plus de cinquante ans, élevèrent trois enfants et projetèrent de passer l’automne paisible de leur vie dans une petite maison du village de Mazan près d’Avignon. Cependant, Dominique, que le psychiatre a décrit comme un déviant sexuel de type voyeur, en a décidé autrement. Selon le Daily Mail, en 2010, il proposait déjà à sa femme des jeux érotiques pour de parfaits inconnus. Il a recherché des clients via des sites de rencontres sur Internet, principalement des forums au nom caractéristique « à son insu » (à son insu). Avant chaque visite, il ajoutait des sédatifs à la nourriture de Françoise, précise le serveur britannique Lorazepam. Lorsqu’elle s’endormit dans un état second, les invités pouvaient faire ce qu’ils voulaient d’elle. Dominique filmait généralement du théâtre dégoûtant, mais selon les dires, il rejoignait parfois les voyous. Pour éviter d’être détecté ou de rebondissements inattendus, il a exhorté les visiteurs à se garer plus loin de sa résidence et à ne pas utiliser de parfums forts qui pourraient réveiller la victime.

L’abus d’une femme sans méfiance a duré dix ans incroyables. Au cours de ceux-ci, Françoise a souffert d’états d’apathie, de fatigue inexplicable, de désorientation et de divers problèmes gynécologiques. Les médecins ont même conclu qu’elle avait été infectée quatre fois par des maladies sexuellement transmissibles.

Plus de 50 accusés

L’enquête sur le traitement drastique d’un être cher a duré environ un an et a apporté des révélations choquantes. La police a déclaré que jusqu’à 92 cas de viol ont eu lieu à la maison de la rivière L’auzon et a dressé une liste de 83 violeurs. Certains se sont présentés à plusieurs reprises à Mazani. Cependant, il a été identifié jusqu’à présent « juste » 51 d’entre eux. Parmi eux, un pompier, un membre du conseil municipal, un gardien de prison, un professionnel de la santé ou un journaliste. Leurs réactions étaient parfois absurdes. L’un des accusés, par exemple, a nié avoir violé Françoise. Il s’est défendu avec les mots: « C’est la femme de Dominique, il peut faire ce qu’il veut d’elle. » D’autres auraient supposé que la victime était d’accord avec tout et n’avait fait que simuler l’inconscience. Cependant, cela a été contesté par l’organisateur du divertissement dépravé lui-même, qui a affirmé qu’il avait informé tous les invités de l’inconscience de sa femme. Ils ne pouvaient donc avoir aucun doute sur le fait qu’ils commettaient un crime grave.

Divorce et basse

Lorsque la malheureuse Françoise a appris les atrocités humiliantes qu’elle avait subies pendant des années, elle est tombée dans la dépression et, malgré son mari dépravé déclarant qu’elle était le seul amour de sa vie et l’aimait toujours beaucoup, elle a demandé le divorce. Bien sûr, la séparation ne sera pas la seule punition pour le retraité pervers. Avec ses copains, il devrait comparaître devant le tribunal au printemps prochain et entendre le verdict. Il risque jusqu’à vingt ans derrière les barreaux.

Irène Belrose

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