Ghosn serait prêt à laver son nom.
PARIS. La France a émis un mandat d’arrêt international contre Carlos Ghosn, l’ancien patron de Renualt et de l’alliance Renault-Nissan, qui a fui le Japon en 2018 après avoir été libéré sous caution.
TASR l’informera sur la base du rapport de l’AFP.
Le mandat d’arrêt a été émis dans le cadre de versements suspects de plus de 15 millions d’euros entre l’alliance Renault-Nissan lorsqu’elle était dirigée par Ghosn et la société omanaise Suhail Bahwan Automobiles (SBA). C’est ce qu’a déclaré le parquet de la banlieue parisienne de Nanterre.
Ghosna a été arrêté à Tokyo en novembre 2018, soupçonné de violations financières et d’abus de confiance. Il était accusé d’avoir sous-estimé ses revenus entre 2011 et 2015 et d’avoir détourné les finances de Nissan à des fins personnelles.
Peu de temps après son arrestation, Nissan et Mitsubishi l’ont démis de ses fonctions de président du conseil d’administration, et il a ensuite démissionné de son poste de PDG de Renault. Le scandale a ébranlé l’alliance de 20 ans de Renault avec Nissan.
Après avoir été libéré sous caution, Ghosn a réussi à s’échapper du Japon dans un jet privé. Turquied’où il est arrivé au Liban, qui n’a pas d’accord avec le Japon sur l’extradition des suspects.
Reuters a approché son porte-parole dans le cadre de la délivrance du mandat d’arrêt. Il a déclaré que Ghosn était « surpris » d’avoir émis un mandat d’arrêt contre lui-même et qu’il était prêt à blanchir son nom.
« Analyste de longue date. Passionné de cuisine subtilement charmant. Introverti. Accro aux médias sociaux. Lecteur. Pionnier général de la télévision. Étudiant. Future idole des adolescents. »