Blog N : Suivez-moi

Le film intitulé Watch Me a env. 50 min. (Pays-Bas, 2018, #follovlule, N. Veul)

L’introduction se lit comme suit : «  » Tout ce que vous voyez, c’est cette page enchanteresse. Mais vous ne pouvez pas voir ce qui se passe derrière le rideau », explique Mike de la société d’analyse des médias sociaux Dovetale. Instagram est comme une vitrine où les gens se font connaître. Alors que les utilisateurs donnent avec enthousiasme des likes aux selfies, il y a en arrière-plan une activité animée avec des comptes d’utilisateurs… Est-il même possible de croire en quoi que ce soit ? »

Et donc, comme c’est le cas dans notre société, quand on n’a tout simplement pas le temps d’entretenir des relations avec des gens avec qui on n’est pas intéressé par quelque chose qui va permettre un bénéfice, un profit possible, que ce soit une relation entretenue dans le cadre de l’emploi ou de l’entreprise , quand même la famille ou les amis, nouer des amitiés, partager des expériences, réussir, faire confiance… il n’y a pas de temps et on se retrouve dans ces « égouts » où tout semble aller, avec un téléphone portable à la main on laisse passer des contenus inconnus , informations, personnes , jeux PC et joueurs en ligne, où littéralement comme un « magicien » quelqu’un montre quelque chose, offre quelque chose et un autre semble être avec nous, jouant de l’autre côté du monde, … simple, rapide, .. .et pas très réel…

Et que dire d’influencer les médias dits d’opinion, qui apparaissent démocratiquement, professionnellement et dans la durée, grâce à leur « éducation », formation, in-formation, qui nous parviennent comme concepts, thèses, slogans… valeurs.. .des spectres éthiques de valeurs dans la hiérarchie de un à dix … qui nous rendent, en tant que « bonnes » personnes, dignes du bon groupe, qui ont le sentiment de voyager tout au long de la vie, avec le droit et toujours en comprenant et des gens souriants…ceux qui disent : « ok » ou : « oui, euh, continuez… » et ils ont la bonne image d’une ride au dessus du front ou d’un regard fixé sur l’espace entre nos sourcils, littéralement suggestivement hypnotisant notre ego et ainsi entretenir leur ego, ou tous les ego de ceux qui ne font pas un pas en arrière dans l’autoréflexion, le doute, le jugement critique, la logique…dans la zone amygdale…

Je veux dire, et si avec l’impression que voici un ennemi clair, voici des valeurs claires, voici la lumière claire de la vérité, un avenir progressiste, un monde qui sera différent, meilleur, plus sain, plus écologique, plus durable, construit sur une société de l’information… où l’on n’a même pas besoin de pain pour manger, ..même pas pour se chauffer l’hiver… même pas pour se défendre. … où tout ce que vous avez à faire est de croire et de rejoindre une société plus brillante, en celles-ci pour toujours et jamais autrement…

Je veux dire, et si quelqu’un s’habituait à aller dans son monde, pour faire du shopping, rapide et immédiat, où je peux acheter la vérité en un clic, et où tout ce que j’ai à faire est de lire le titre, le titre, le mot de passe… un jugement de valeur qui me conforte dans mon monde… qui me donne ça le crée et l’entretient… comme une tour… eh bien, et si un tel « magasin » où même la majorité de la société s’habitue à « acheter » avec l’impression qu’ils sont démocrates et ceux qui se disent qui sont aussi démocrates, ou libéraux, ou créateurs de démocratie libérale (parce que dans une démocratie normale il y a une place pour les conservateurs, les libéraux, les socialistes et les populistes… les deux légèrement à droite et ceux légèrement à gauche… peut-être que quelqu’un comprend encore la logique qui montre la différence entre les deux termes (démocratie/démocratie libérale…) …

Et que dire quand, dans un monde qui change rapidement, où il faut remarquer et apprendre très vite – la jeunesse, ce qui est éclairé et ce qui est dans l’ombre, qui fait semblant et qui tire les ficelles… qui est sur un côté bâton et qui est à l’autre bout de celui-ci… qu’il est connecté… et la lumière et l’obscurité, et la nuit et le jour et un côté d’une pièce, qui n’est pas une pièce sans son autre côté, que nous percevons et comprendre de manière globale… afin que nous ne soyons pas brûlés par un imposteur qui éveille l’impression… ou quelqu’un qui nous montre de l’argent et nous avons l’impression qu’il a du succès, qu’il est capable et digne de respect… c’est-à-dire quand en ce monde, tôt ou tard, quelque chose qui semble désintéressé et uniquement scientifique ou vrai s’avère être un comportement, un système, une hiérarchie, un pouvoir déterminés qui tentent de pousser l’idéologie dans l’ensemble de la société (à partir du mot : totalité – quelque chose à tous les niveaux de la société … de l’éducation maternelle à l’éducation, l’armée, la fonction publique… ou les tribunaux… nous connaissons ces coups, par exemple, depuis le premier État, lorsque les enfants avaient des fusils en bois et des casquettes en papier et marchaient sous le sifflet d’un monsieur en uniforme, avec une barbe ou des cheveux bien taillés… exemple. visualisation…

Ainsi, dans la Constitution de la République slovaque, il est écrit très astucieusement, dès le début, que la société n’est liée à aucune idéologie, religion, qu’il y a une nation et des minorités… que l’égalité, la légalité, que c’est le droit civil, les droits de l’homme, les tribunaux, la répartition du pouvoir, et surtout le contrôle du pouvoir par les citoyens qui sont souverains dans la république donnée – c’est précisément pourquoi on l’appelait démocratique….

Toujours dans chaque société, les plus importants et les plus capables trouvaient leur place tout en haut, et parce qu’ils étaient dignes d’honneur, ils pouvaient juger et le peuple acceptait leur jugement… ils se considéraient impartiaux, sages… les gens savaient les uns les autres pas des médias, pas de ce que nous c’est fascinant quel genre d’arrière-plan ou de rollup les « magiciens » donnés qui veulent influencer et gagner de l’influence, du pouvoir… mot… s’ouvriront derrière eux… quoi genre de journalistes qu’ils vont « acheter » que ce soit pour les bonnes questions, les interviews, ou le silence qui assourdit le scandale, phénomène, qui se passe dans la vraie vie… qu’il faut « expliquer », là où il faut le « prendre » et « éduqué »..

C’est aussi tentant quand dans un environnement où il n’y a pas le temps de « se retourner » pour en profiter, une action fructueuse… quelqu’un dit vite ce qui est bien et ce qui est mal, quand même un journaliste s’habitue à juger et influence d’une certaine manière la société et ces juges, tout le système, le pilier de la répartition du pouvoir dans la république (judiciaire – où il y a une personne avec un code d’éthique avec éducation, avec contrôle et motivation…).

J’ai regardé un morceau hier avec env. de la retransmission de quatre heures de la réunion du conseil judiciaire, et j’ai été intrigué par la déclaration de la dame de la commission d’éthique, qui dit qu’elle n’a jamais vu une telle relation nulle part dans le monde, où un journaliste et un juge seraient d’une manière ou d’une autre traiter avec des gens, des membres de la société, divers phénomènes et autres… mais pourquoi ne l’a-t-elle pas trouvé ? Eh bien, probablement parce que c’est anormal, absurde ou nuisible… digne d’au moins une analyse… pourquoi… Qui est réellement la cause et qui est l’effet ? Qui « a besoin » de qui ? Qui profite à qui ? Était-ce l’œuf ou la poule ? Le pouvoir était-il d’abord et l’amour ensuite ? Ou d’abord l’amour et ensuite « l’effet synergique » la joie, le pouvoir, le pouvoir sur les gens, les vies… ? Là où l’un correspond, l’un a le « timbre » et l’autre c’est peut-être le cou qui fait tourner la tête ?

Je dois finir, une seule chose a retenu mon attention. La juge a dit qu’elle lit le journal en question, qu’elle est abonnée… En d’autres termes, le jugement qu’elle accepte les opinions, les valeurs et peut-être même l’idéologie, et le ksa peut prouver qu’une certaine idéologie a été introduite ici pendant des années… où il ressort clairement du contexte que certains juges grâce à leur formation, leur expérience de juger, de porter des jugements, et leur capacité à distinguer une affirmation évaluative d’un fait ou d’une manipulation, ont clairement montré à l’auditoire qu’il y a pas une vision du monde. Il y a donc un sujet pour ce qu’on appelle l’éducation globale ? Le Jeden svet festival, l’organisation Humain en danger ? Une personne, un citoyen est-il en danger ? Imaginons que pendant des années quelqu’un présente quelque chose comme généralement bon et c’est une vue unilatérale, peut-être même idéologique, et puis on dit que nous sommes bons, votez pour nous, et la majorité, bien massée, prend simplement le relais et donne pouvoir à quelqu’un qui est inconnu, à l’autre bout du bâton… quelqu’un qui a ébloui… et quelqu’un se fait passer pour un journaliste et innocent, sans responsabilité, et celui qui est peut-être aussi utilisé, ou avec un commun intérêt, faire semblant d’être bon, établir le bien – peut-être enfreindre la loi, est une victime … c’est juste un texte d’apparence philosophique, un blog, pour une réflexion possible, un avis digne de considération … Comme le souligne le doc. Pinc, sur youtube, que les anciens Grecs distinguaient déjà entre opinion et vérité, ce qui est indiscutable. Et ceux qui croient immédiatement ce qui est clair à première vue, ce qui est en surface, ils ont appelé « idiot » – une personne qui ne sait pas distinguer… je vous souhaite tout le meilleur… c’est difficile à vivre facilement, dit-on… et les frivoles choisissent facilement la luminosité… paillettes… impression… doxa… tout coule et on ne se jette pas deux fois dans le même fleuve… et ceux qui ont peur n’en n’allez pas dans la forêt….

Séverin Garnier

"Géek des réseaux sociaux. Accro à la bouffe. Organisateur d'une humilité exaspérante. Expert en télévision primé. Pionnier de la culture pop. Passionné de voyages."

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *